les nouvelles de berker

Voila ici prochainement je mettrai une histoire que j' ai créé en plusieurs episodes (un tout les 1 ou 2 jours) .
Et si j'ai le temps de continuer pourquoi pas des autres enfin seul l'avenir nous le dira.

« - Pousse-toi ! »
Karlin poussa violemment Tona qui tomba assis sur le sol.
« - Lana n’est pas une fille pour toi, elle a besoin d’un homme fort, pas d’un lâche !
-Pourquoi ? demanda Tona, Pourquoi fais-tu cela ?
-Parce que je hais ce village ! Dans 3 mois on m’exilera et Lana partira avec moi, pourquoi resterait-elle ici avec des lâches comme toi ? »
Tona baissa la tête, il était comme tout le monde à Mali.

Dans ce village qui n’apparaissait sur aucune carte, on enseignait au jeune la non-violence et le respect de tout, personne n’était violent, personne ne tuait, personne ne possédait rien, tout appartenait à la communauté. Mais même avec ce système, certains devenaient tout de même violents, la nature humaine restait inchangée, C’était le cas de Karlin. Ces gens la, on les exilais des le jour de leur 16 ans, on leur offrait une épée et des vivres et on les mettait hors du village. Mais malgré l’exile, aucun n’avait jamais parle de Mali, en fait, aucun n’avait jamais atteint vivant une autre ville.

Lana, elle, était l’une des plus belles filles du village. Elle savait qu’il y’avait des histoires entre Karlin et Tona, mais ne s’y intéressait guère, elle ne s’intéressait pas a l’amour, elle avait trop a faire avec sa mère malade.

Turin, le chef du village, arriva près de Karlin et lui dit de laisser Tona, Karlin regarda un instant Turin dans les yeux puis partit sans dire un mot.
« -Est-ce que ça va ? » demanda Turin en aidant Tona a se relever.
« -Oui je vais bien, merci.
-Ne t’inquiète pas, d’ici 3 mois il sera exilé.
-Oui, mais si Lana part avec lui ?
-Pourquoi partirait-elle avec lui ? Tout le monde ici prévoit vos fiançailles.
-Personne ici ne peut choisir pour elle
-Elle ne choisira pas Karlin, je te le dis. »


Trois jours passèrent sans incident, comme d’habitude, puis un homme qui était partit à la cueillette, revint avec son chariot, mais il n’y avait pas que des fruits dedans. Un homme assez grand, vêtu d’une armure noire brisée par endroits et une épée à la gaine était inconscient. On pouvait voir du sang couler de son armure.

Pas mal, bientôt la suite?

tu veux la suite la voila comme on est un autre jour que hier je le poste direct

Trois jours passèrent sans incident, comme d’habitude, puis un homme qui était partit à la cueillette, revint avec son chariot, mais il n’y avait pas que des fruits dedans. Un homme assez grand, vêtu d’une armure noire brisée par endroits et une épée à la gaine était inconscient. On pouvait voir du sang couler de son armure, Turin s’écria :
« -Pourquoi ramènes-tu cet étranger parmi nous, il a une épée, il va apporter la mort sur noter village !
-Il était blesse et… » Turin l’interrompit
« -Ramènes le ! »
Une femme s’écria : « Je ne suis pas d’accord ! L’une de nos lois est le respect de la vie ! Si on ne le soigne pas, il mourra ! » Des chuchotements s’en suivirent puis les villageois crièrent leur accord avec la femme. Turin prit le chemin de la maison, se retourna et cria « Faites comme bon vous semble, je vous aurez prévenu ! »

L’homme était grièvement blesse et il lui fallut trois jours pour reprendre connaissance. Il était soigne par Saline, une infirmière du village qui travaillait fort bien. A son réveil, elle lui demanda son nom et tout ce qu’il y’avait a savoir.

Il s’appelait Garon, il avait 22 ans et était garde du corps, il était en route pour Salvin à la recherche d’un emploi quand des brigands l’attaquèrent et le laissèrent pour mort après lui avoir dérobé sa bourse.

Saline lui demanda si le monde extérieur était si terrible que ça. Comme Garon ne comprit pas, elle lui expliqua le fonctionnement du village. Garon n’en cru pas un mot, passer une vie entière sans avoir a utiliser la violence une seule foi ? Saline lui répondit que ses blessures guérissaient très vite, et qu’il pourrait marcher et voir ça dans deux ou trois jours, à l’aide d’une canne évidemment !

Les trois jours passèrent et Garon pouvait marcher garce à un bois. Il partit visiter le village. Certains lui disaient bonjour, d’autres le regardaient d’un air méprisant ou apeuré, et les enfants couraient en le voyant. Garon comprenait plus ou moins l’origine de leur peur, mais son épée avait été cachée par Turin pour ne pas qu’il l’utilise dans le village.

Turin vit Garon et alla lui parler.
« -Toi ! Tu es dans mon village ! Si tu bouges ne serait-ce que le petit doigt…
-Oui ?! Si je bouge quoi ? Vous avez facile de parler a un homme désarmé qui ne tiens pas debout ! Vous n’etes pas différents de ceux que vous méprisez !
-Des votre rétablissement vous partirez ! »
Et Turin partit.

Garon passa ensuite devant une maison et vit un jeune garçon en sortir, et dix mètres plus loin se faire aborder par un autre qui lui parla puis le poussa. Tona regardait toujours le sol. Garon intervint et dit à Karlin de partir. Garon était un homme du monde extérieur, le premier que Karlin avait vu, et quelque part, il l’admirait, alors il partit sans poser de question. Tona se releva et regarda Garon d’un air un peu effrayé.
« -Est-ce que ça va ? »Demanda Garon, Mais Tona ne répondit pas.
« Hey, tu n’as pas à avoir peur, je t’ai aide non ?
-Pourquoi ? Vous venez du monde extérieur, pourquoi m’avez-vous aide ?
-Parce que l’on te mens depuis ta naissance, a toi et a tous les habitants de ce village. Les gens comme moi ne sont pas moins bon que vous autres !
-Je comprends ce que vous dites, merci de m’avoir aidé.
-Quel est ton nom ?
-Tona.
-Quel est ton problème ?
-Avec Karlin ? Il déteste tout le monde ici, il sera exile dans 3 mois. Il me déteste particulièrement car nous aimons la même fille. Il dit qu’elle partira avec lui au lieu de rester avec un lâche comme moi.
-Et bien, Tona je vais te dire quelque chose, un lâche aurait abandonne l’idée de voir cette fille, tu n’es pas un lâche ! Alors la prochaine fois qu’il t’attaquera, tu frapperas entre les jambes et lui donnera un bon coup à la tête !
-Mais si j’utiliser la violence, je serai exilé !
-…..Dans ce cas je ne peux rien faire pour toi…. » Et Garon tourna le dos a Tona et partit, Tona le regarda s’éloigner et perdit encore un peu d’espoir…

Quelques semaines passèrent sans aucun problème entre Karlin et Tona, dans le village, tout le monde savait que Garon y était pour quelque chose et il en avait gagné de la considération au sein des habitants de Mali. Seul Turin continuait de s’en méfier. Garon pouvait a nouveau marcher normalement et c’est pour cela qu’il devait partir le lendemain, même si Turin et a peine quelque personne avaient voté cela. Il avait demandé a récupérer son épée un peu plus tôt afin de s’entraîner, ce fut accepte et Garon partait chaque jour dans la foret. Ce jour la, il entendit un bruit horrible, non pas qu’il était vraiment terrible, mais que Garon connaissait bien sa signification ; un grand malheur était sur le point d’arriver : ce bruit, c’était celui des tambours d’une troupe de gobelins, peut être même des orques, et un troll, le rythme du tambour indiquait qu’ils s’apprêtaient a piller une ville, les monts Gobarses se trouvant au nord, ils devaient voyager vers le sud, et qu’y avait-il au sud ? Mali. Sans se poser plus de question, Garon se mit a courir vers la ville prévenir ses habitants.

Vos comm' sont toujours les bienvenues qu' elles soient bonnes comme mauvaises ou neutre.

Je lirais quand j'aurais un peu plus de temps je te promet, la je ne peux pas, mais cette aprem ptet

Je te donnerais mon avis ^^

Vraiment cool, c'est très bien écrit

J'aime vraiment bien l'histoire, elle est interressante et nous tiens en aleine ^^

Je ne m'attendais pas vraiment à trouver des orques ou autres créatures du genre, et personnellement je trouve que ça corespond pas trop au climat de ton histoire, mais ce n'est que MON avis ^^'

Sinon vraiment trés cool

J'attends la suite, et je vais attendre de rentrer du travail pour poster un commentaire.

J'adore en plus bien écrit et pas beaucoup de fautes, si ne dirai aucun lol

Rennoy a écrit:

J'adore en plus bien écrit et pas beaucoup de fautes, si ne dirai aucun lol

On ne peut pas en dire autant de ta phrase :s

Je suis sur que t'as fais plus de fautes que lui en une phrase que lui dans ses deux textes -_-'

M'enfin passons ^.^

Je sais ^^'

Arrive, la première personne qu’il vit fut Turin, il s’arrêta pour reprendre son souffle mais le chef du village vint a lui.
« -Qu’as-tu donc ?
-Ha…..Turin….Je dois….Te parler…Des gobelins…Au moins une cinquantaine…Ils arrivent…
-Allons, reprends ton souffle. » Garon se calma, respira quelques secondes et reprit.
« -Il y’a des gobelins qui arrivent du nord, demain ils seront ici et chaque maison sera rasée, chaque homme tué, les femmes et les enfants seront sacrifies a un dieu du chaos.
-Oh mon dieu… »
Le visage de Turin fit une mimique qui exprimait bien sa terreur, il sentait la peur à des kilomètres, puis il se rappela qu’il était le chef du village et la solution était toute trouvée.
« -Garon, amènes tout le monde sur la place du village. «

Il était cinq heures quand Turin prit enfin la parole.
« - Chers amis, l’heure est grave nous avons accepte au sein de notre communauté un homme du monde extérieur et à présent nous sommes tous en danger de mort ! Je vous l’avais prédit ! » Une lame venait de sortir de son fourreau, et Garon n’attendait qu’un mot de plus pour faire ce qu’il avait envie de faire depuis son arrivée.
« Mais le temps n’est pas à cette pensée. Au nord, des monstres s’avancent et nous périrons tous ! Nous devons prendre tout ce que nous pouvons et partir avant la nuit ! »
Certaines personnes applaudirent, mais une voix se fit entendre : celle de Farou, l’agriculteur.
« - Non ! Regardez autours de vous, NOS maisons, NOS terres, NOS enfants, cet endroit est a NOUS ! Nous ne pouvons pas laisser détruire ce que nous avons eut tant de mal a construire ! Même si nous mourrons tous, nous aurons fait de notre mieux ! Et n’oubliez pas, Garon est avec nous ! »
Des acclamations et des « hourra ! » se firent entendre et Garon fut alors pris de terreur. Turin reprit la parole.
« Mes amis, ceux qui resterons mourrons, choisissez votre destin ! Ceux qui veulent vivre me suivent, les autres n’ont qu’a rester ici et mourir ! »
Et Turin partit, suivit de la plus grande partie du village.
Une trentaine de personne vinrent près de Garon
« -Vous êtes fous, vous n’avez aucune chance, partez avec Turin. » Farou lui répondit.
« -Vous devriez comprendre !
-Je comprends tout a fait, je ferait pareil, mais moi je sais me battre et j’ai une épée ! »
Un jeune garçon répondit
« -Mais nous aussi, Turin a une réserve d’armes, les fondateurs du village les avaient, et elles sont entretenue depuis.
-Je ne peux pas vous apprendre à vous battre en si peu de temps. » Farou répondit.
« -Nous nous battrons jusqu'à la fin et les exterminerons ! Et avec toi, nous pouvons gagner ! »
Garon n’eut pas le courage de lui avouer la vérité, alors il demanda où étaient les armes.

Plus tard, Karlin vint parler à Garon
« -Je sais que nous sommes perdu, mais je veux me battre quand même ! C’est ici que je vis et maintenant que Turin est partit, plus rien ne m’en empêche !
-Je pense que tu es le seul ici à savoir ça…
-Non, nous sommes plusieurs à savoir que nous sommes perdu, mais ils veulent se battre quand même², les autres comptent sur vous. »

La nui arriva, alors que tout le monde semblait avoir finalement trouver le sommeil, ne connaissant pas la peur car ils ne connaissaient pas les combats, Garon, lui, était assis sur son lit et ne savait que faire. Une trentaine d’hommes inexpérimentés, des lames a peine coupantes,…Lui, en faite, ne se souciait guère de Mali, même si il était redevable envers les habitants, il n’était même pas Garon, garde du corps, il était Gwamdom, hors-la-loi recherché pour vols et meurtres, comment pouvait-il ne serait-ce que penser a mourir pour eux ? Il se leva et se dirigea vers l’écurie, sa décision était prise.

Arrive, il harnacha un cheval et le monta lorsqu’une fille entra.
« -Garon ? Que faites-vous ici ? »
Garon la reconnu, c’était Lana, celle pour qui Tona avait tant souffert. Garon ne savait même pas qu’elle était restée. Il tenta de répondre.
« -Je…heu…
-Vous partiez ? Allez-vous prendre la fuite ? «
Garon, emplit de honte, regardait le sol, il aurait tant espérer n’avoir personne a regarder dans les yeux lors de son escapade.
« Comment pouvez-vous faire cela alors que vous êtes la seule source de courage des hommes de ce village ?
-Tu sais, il faudrait encore une dizaine d’hommes comme moi pour espérer venir à bout de l’adversaire…
-Je sais…
-Mais alors, que fais-tu ici ?
-Ma mère n’aurait pas supporté le voyage, je veux rester avec elle jusqu'à la fin. »
A ces mots la honte de Garon prit encore un peu plus d’ampleur.
« -Je ne suis pas celui que vous croyez …
-Si ! Je ne sais rien de votre passé, mais ici vous êtes celui que je crois, ici personne ne vous en veut, ici vous pouvez recommencer votre vie a zéro, ne voulez-vous pas vous battre pour cela ? »
Garon hésita a nouveau, mais sa décision était prise : Gwamdom ne mourrait pas pour eux !
« -Non. » Fut le dernier mot qu’il prononça avant de prendre le galop

Les hommes qui avaient réussi à dormir ne sachant pas ce qui les attendait au réveil se levèrent peu avant l’aube. Dans Mali, tout le monde se demandait ou Garon était passé, puis Lana apparut et leur expliqua ce qu’il s’était passe durant la nuit. Les hommes tombèrent a genoux, a présent, ils n’avaient plus aucun espoir, certains même se mirent a pleurer. Un spectacle que Karlin trouva lamentable, il se munit d’une épée, monta sur un chariot pour être sur élevé et prit la parole d’une voix forte.
« -Cessez de pleurer maintenant ! Garon que vous pensiez être notre seul espoir, est partit ! Lui c’est un lâche ! Mais nous nous sommes toujours ici ! Et pleurer ne nous aidera pas plus que lui ! C’est vrai, l’ennemi est plus fort, c’est vrai, peut être que le village sera rasé d’ici demain ! Mais allez-vous pleurer en attendant la mort ? Où allez-vous vous battre pour tenter, même si cela semble impossible, de sauver Mali ? De toute façon il est trop tard pour fuir ! Alors prenez vos armes ! Levez-vous ! Venez avec moi et que nous répandions le sang de nos ennemis dans la foret ! Ils veulent nous tuer, brûler nos maisons, jamais nous ne laisserons faire une chose pareille ! Levez-vous !! »
Karlin avait le bras levé vers le ciel et les habitants l’imitèrent en hurlant un grand cri de guerre. Karlin hurla à nouveau « Pour Mali ! »