Histoire d'Archénos

Voilà une petit histoire que ze vais vous raconter !

Le boiteux :

La nuit recouvrait le ciel tel un voile. Il faisait extrêmement sombre, on voyait à peine la lune. Elle était pleine. Un homme marchait vers le pub de Sarosa. Sa démarche était claudicante. Il laissait des traces irrégulières dans la neige.
Il avait fidèlement servi les Black Knights. Il avait combattu tous ses ennemis. Il avait même frôlé l’amputation suite à une très grave blessure. Heureusement que cette guérisseuse elfe lui avait épargné cela. Il préférait boiter que d’être unijambistes. D’ailleurs, cette blessure lui avait au moins valu une retraite fort précoce. Il était devenu instructeur pour les Black Squires. Il les éduquait, il leur apprenait à se battre, à se défendre. Il adorait son métier.

Il poussa la porte de la taverne. La lumière jaillit et éclaira toute la rue. Le boiteux entra et ferma la porte. Il en profita pour se réchauffer. La taverne était bondée, les cris des gens, la fumée se dégageant des pipes des habitués, la bonne odeur de nourriture se dégageant des fours, tout ça formait une atmosphère accueillante. Le boiteux adorait cet endroit. C’était autre chose que le pub de Trigorn, il détestait aller là-bas. Après s’être forcé un passage entre les habitués, il commanda une boisson pourpre, sa boisson préférée, même s’il savait que l’alcool n’est pas recommandé pour garder la forme à son age.
Il essaya d’entrer dans une conversation pour passer le temps. Ce n’était pas dur, ici, tous les gens se connaissaient. Encore un point de plus par rapport à Trigorn. Il discuta plusieurs heures sur un débat lancé par un de ses amis, un bénévole de la bibliothèque, endroit où aimait flâner le boiteux lorsqu’il ne formait pas les recrues et qu’il faisait encore jour.
Comme d’habitude dans ce genre de conversation, les hommes étaient quasi entrain de se disputer lorsqu’ils entendirent un cri déchirer la nuit. Ce n’était pas un cri humain mais il traduisait toute la souffrance que devait ressentir l’être qui poussait ce hurlement.
S’ensuivit les cris de Bertha, la femme du gérant du pub : « Le monstre, il est revenu tuer mes brebis, allez l’en empêcher ! »
Personne ne bougea, pétrifiés par la perspective de tomber nez à nez avec la créature dont elle parlait. Après quelques minutes, Armand, le tenancier de la taverne prit une dague et sortit. Le boiteux et deux autres guerriers le suivirent guères motivés mais ne pouvant se résoudre à laisser le gros Armand y aller seul.

Le ciel, toujours aussi noir si pas plus, empêchait les quatre hommes d’aller vite. Surtout que dans la précipitation, aucun n’avait apporté une torche ou tout autre moyen d’éclairer.
Même en ne voyant rien, il pouvait apercevoir une forme, agenouillés près d’un tas. Le boiteux reconnut la brebis de Bertha.
Le tenancier poussa un cri pour essayer de faire fuir la bête mais au lieu de partir, elle se retourna et sauta sur les Sarosiens. Le combat fut bref, le boiteux ne compris pas ce qu’il se passa, il entendit des cris, il se fit bousculer et il reçut une giclée de sang. Il ne pouvait frapper de peur de blesser un de ses amis dans l’obscurité. Puis, alors que le combat n’avait commencé qu’une seconde à peine avant, il ressentit une douleur aiguë dans l’avant bras droit. La bête s’en alla dans la nuit. Personne ne chercha à la poursuivre.

Les jours passèrent et personne ne reparla de la bête. La blessure du boiteux se révéla être une morsure. Elle guérie très vite, en deux jours, il n’eut plus de traces. Mais il avait certainement attrapé quelque chose cette nuit là, il resta cloué au lit, la fièvre l’empêchant de se lever.
Cela dura des semaines entières. Aucun remèdes des médecins ne fonctionnant, il avait été mis en quarantaine pour éviter toutes contaminations.
Une nuit, alors que le boiteux dormait paisiblement, il se réveilla brutalement, il était mouillé de sueur et il était aussi chaud que la braise. Il sentit ses os se déformer, sa peau s’étirer. Il souffrait comme il n’avait jamais souffert. Au bout de quelques minutes, il ne se sentait plus humains. Il était à debout mais légèrement arc que boutés, il ne boitait plus, son souffle était rauque. Il ne pensait qu’à se nourrir, qu’à manger. Il regarda par la fenêtre. La lune était pleine..

Voilà, zespere qu'elle vous a plu !

Très belle histoire Archénos Wink

(en fait, j'adore toutes les histoires de loup-garous Mr.Red

)

Mici ! Hi hi.

Je trouve ton histoire super! ^^
(Ne parlerais tu pas de ton père dans cette histoire?)

Non non ^^

(Mais c'est l'un de mes persos secondaires oui !)

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Histoire d'Archénos Squatr

En voici une autres ! Zespere qu'elle vous plaira mais rien n'est moins sur..

Le combat :

Les ennemis s’observent. La froideur de leurs regards contraste parfaitement avec le temps d’hiver autour d’eux. Les flocons de neiges tombent en rafale, les feuilles, soulevées par le vent, exécutent un ballet, les branches des arbres, claquant entre elles, jouent une symphonie. Mais pour eux, ils n’existent rien hormis l’autre, ils ne font pas que s’examiner, ils se livrent aussi à un combat mental. Ils remplissent leurs yeux d’assurance et de haine pour effrayer le combattant en face d’eux. Parfois, la peur est un ennemi pire que l’épée.
Après un long moment, ils se jettent l’un sur l’autre comme d’un commun accord de leur inconscient. Leur rage donne plus de force au bras qui tient l’épée, ils combattent tel des animaux, faisant ressortir toute leur bestialité.
Ce combat n’est pas un combat que des chevaliers, tel des artistes, se livrent en arène. Eux, ce ne sont que des danseurs exécutant leur chorégraphie. Leur combat est beau et long.
Pas dans les vrais combats. Ici, personne ne songe à ce qu’il a appris antérieurement, seul la force et les réflexes comptent.
Les oiseaux aux alentours fuient, comme ayant été chassé par l’atmosphère malsaine de l’action. Le temps lui-même s’est arrêté pour pouvoir admirer tant de sentiments différents dans les yeux des adversaires.
Le combat est fini.
L’un est mourrant, l’autre est vivant.
L’un a perdu toutes émotions. Il ne fait que regarder sa blessure stoïquement. Il sait qu’il va quitter ce monde, mais en est-il vraiment contrarié ? Non, il sent qu’après tout, ce monde, ici ou là-bas, est fait pour souffrir.
L’autre regarde son ennemi. Il n’est pas vraiment heureux, juste soulagé d’avoir échappé à la mort, pour cette fois.. Il ne réfléchit pas vraiment à ce qu’il vient de faire. Il lui faudra plusieurs heures avant de retrouver son état normal et chercher des excuses pour ne pas être submerger de remords. Quel que fut la cause de son acte, il en trouvera toujours une.
L’un est mort, l’autre finira par le rejoindre.
Car tant que l’homme ne cessera de se combattre, de s’entre-tuer, il ne pourra prétendre au titre de race supérieur.

Voilà, ze me suis dit qu'en tant que spirituels, je me devais de créer quelque chose pour la guilde ! Ne sachant pas faire grand chose, zecris de petites histoires.. Embarassed

J'adore !

Je raffole de ce genre d'histoire. Une autre, une autre !! Surprised

*vois d'enfant*
Raconte moua une histoire !

Stry

Impec impec, décidément j'ai bien fait de mettre une rubrique récits sur le site ^^

Strygaldwir a écrit:: *vois d'enfant*
Raconte moua une histoire !

LoL ta pô besoin d'imiter un enfant loul xD

snif snif c'est très beau archénos

c tré bo archénos

Sniff, Sniff, t trop beau Archénos
...
...
...
Comment ça je suis un boulet ?
*se cache*

Stry

moi aussi je trouve ca super thumleft

Bien qu'a mon avis un homme qui meurt ne recoit pas le genre de sentiments que tu lui as donner. Smile

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Histoire d'Archénos Squatr

Tout dépends du point de vue hi hi !

Moi, la mort ne me fait pas peur, si Dieu existe, le paradis ca doit être trop cool ^^

Si il existe pas, t'es mort, c'est tout, rien d'autres. Tu n'y pense même pas. Plus rien. Ca fait pas peur.

En aucun cas, la mort apporte souffrance.

bien sur que si, essai de t'imaginer mort. Moi personnellement je n'ai pas envie. J'ai pas la meilleur des vies c'est sur, mais elle em convient tres bien, je n'ai en aucuns cas envies de mourir. En effet la mort me fait peur; elle me fait peur car j'ai conscience de ce que je perdrais.

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Histoire d'Archénos Squatr

Dieu, le paradis, tout ça, j'y croi pas trop (pas du tout même)

J'imagine la mort comme un sommeil sans rêve (un peu comme Archénos quoi). T'es mort, tu peu pas regretter la vie puisque tu ne pense plus a rien.

De toute façon personne ne peu savoir ce qu'il y a après la mort et j'espere ne pas le découvrir trop vite Very Happy

Pff Moi ça me fait peur quand j'y pense (c ce que tu voulais dire Squall non ?) dans le sens où je laisserai des personnes qui comptent sur moi, comme Squallounet qui se laisserait mourir de tristesse (lol), ou surtout mon papounet qui serait tou seul -_-

Ca y est maintenant j'ai le cafard lol !
Surtout qu'en ce moment il y a plein de monde qui se suicident on dirait...

Olympus a écrit:: J'imagine la mort comme un sommeil sans rêve (un peu comme Archénos quoi). T'es mort, tu peu pas regretter la vie puisque tu ne pense plus a rien.

Exactement !

déawen a écrit:: Pff Moi ça me fait peur quand j'y pense (c ce que tu voulais dire Squall non ?) dans le sens où je laisserai des personnes qui comptent sur moi, comme Squallounet qui se laisserait mourir de tristesse (lol), ou surtout mon papounet qui serait tou seul -_-

Oui, c'est peut-être triste à dire mais c'est pour cette raison que ze veux pas mourrir, ze veux pas faire de mal a mes proches..

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