Ma description

Oyé Oyé !
VOila ! après une semaine et 3 jours de travail (bon ok, il y a des jours ou je n'ai pas travaillé dessus), je vous présente ma description ! Elle est terminée, mais le récit de mes aventures seront dans une autre partie. Désolé, Tsuki, tu vas encore devoir attendre
Elle fait 6 pages et 45ko Amusez vous bien
(désolé pour le doubel post mais le forum ne veut pas accepter la description en un seul message, elle était torp grosse)




(>^.^)> Ma description RP <(^.^<)


(>^.^)> Introduction

Je fis claquer mes doigts, et les lumières s’éteignirent. Je ris. Pour moi, ce tour était devenu une habitude, mais pour d’autres, ces tours restaient encore domaine de fascination. Pourtant, il était si simple, n’importe qui aurait pu l’apprendre et s’en servir. C’était la première chose que m’avait apprise cette personne étrange et spirituelle.
Pour moi, les souvenirs restent clairs, même après tant d’années passées. Je me souviens … .

Je me souviens de cette nuit ou je fus obligé de partir de mon logis, forcé par ma mère … Etait-elle devenue folle depuis la mort de mon père ? Je ne savais pas, et ne saurais jamais …. Sa mort nous avaient tous fais un choc, peut être à elle plus qu’à d’autre. Mais je m’étais obligé à rester fort. Je devais être fort; et je n’ai pas pleuré.

°(^.^)o Partie I o(^.^)°

Il faisait froid dehors, l’hiver avait atteint son apogée. Une immense étendue blanche recouvrait tous les alentours. Je savais ne pas pouvoir rester ici, mais comment savoir où aller ? Mes escapades ne s’étaient toujours limitées qu’au domaine entourant le palais de mes parents, je n’avais jamais vu personne d’autre de l’extérieur que Sir Ennin, qui venait parfois, et ne voulait parler qu’à Père, mais se baissait parfois pour me saluer en un ‘‘Qu’est-ce qu’il a grandi !!!’’ ou autres paroles de ce genre, choses que j’avait toujours profondément détesté. Je marchais donc, la tête courbée, essayant de profiter un maximum des couverts qu’offraient les arbres et petits buissons. Parfois, je tombais, puis me relevais, et ainsi de suite. Mais à un moment, je n’eu plus la force. Je tomba mais ne me releva pas, et m’endormit dans un sommeil, dans lequel je me voyais, mort de froid, perdu, seul au milieu d’un immense espace blanc qui s’étendait infiniment.

A mon réveil, la neige avait cessée, et un très mince rayon de soleil, vint caresser ma joue d’une très douce chaleur. Me redressant sur mon séant, je m’aperçus, où, justement, n’aperçus plus le palais de mon père. Avais-je marché si loin ? Il ne me semblait pourtant avoir avancé qu’à pas de fourmis dans ce froid si glacial et cette neige qui s’étendait si loin.

‘‘Bah, me dis-je, plus je serai loin, mieux ce sera !’’

Et je continuai mon périple, ignorant la faim qui me tenailla le ventre. Et mon voyage continua pendant plusieurs jours. Heureusement, je descendais peu à peu de la montagne et put ainsi me nourrir de fruits et de baies, que je ramassais en chemin. Mes yeux s’émerveillaient de ces lacs si clairs, de ces arbres si grands et majestueux et des oiseaux que j’apercevais dans le ciel, parfois. Pour moi, toutes choses que je voyais étaient fantastiques, et je pouvais rester plusieurs heures à regarder, fasciné, cette nature si vivante. Je m’avançais vers le sud, et au fur et à mesure de mon voyage, je rencontrais encore nombre d’animaux, tous plus fantastiques à mes yeux, tels que l’écureuil et le renard, le cerf et le sanglier, … .
Mais pour moi, je vis la plus belle chose du monde, à mes yeux. La plus belle chose au monde, que toute autre chose que je trouvais belle naguère ne me parurent plus aussi belle et aucune chose vivante ou objet ne pourra jamais se comparer à cette personne ……

Un soir, alors que je m’apprêtais à manger les fruits que j’avais cueillis en chemin, un chant parvint à mes oreilles. La voix était envoûtante, attirante, et captiva mon attention un long moment. Je repris mes esprits, emballaient mes affaires et me dirigea vers cette voix si belle. Mais ce que je vis me captiva plus encore que cette voix si belle ou toute autre chose. Près d’un lac, dans une clairière, se tenait la personne la plus belle et la plus admirable de son temps. Elle avait de beaux cheveux bleu ciel libres, encadrant une tête splendide : des traits fins et de magnifiques lèvres, semblables à du corail. Alors, d’un gracieux mouvement de tête, elle tourna ses yeux vers moi. Ses yeux ... De toute sa personne, c’est ce qu’il y avait de plus magnifiques … Ils étaient bleu, eux aussi, mais d’un bleu étrange. Et devant cet exemple même de la perfection, je ne sais pourquoi, je m’enfuis. Je courus loin, loin, loin et longtemps, très longtemps. Je courus jusqu’à ce que mes poumons me brûlent et que ma tête tourne. Et là, seulement là, je m’arrêtai. Elle était si belle … mais pourtant, semblait inaccessible à mes yeux, comme d’une race supérieure.

‘‘N’y pense plus, dit une petite voix dans ma tête, oublie tout ceci et continue ton chemin vers l’ouest’’
‘‘Mais comment ne plus y penser quand une personne si belle existe ? dit une voix beaucoup plus forte dans ma tête. Ne serais-ce pas un péché que de nier ce que Dieu a crée de si beau ?’’

Dans mon cœur, je savais déjà qui l’emporterait. Je m’endormis et cette Dame du Lac occupa mes pensées. Au matin, je me réveilla et commença mon périple vers le Sud. Un brillant soleil éclairait la journée mais je ne sais pourquoi, il me semblait moins brillant que les autres fois … Jour et nuit, j’avançais vers le sud, car même si la lune était cachée, une autre étoile brillait bien plus fort*. Je ne sais combien de temps dura ce voyage, mon attention n’était pas tournée vers ça, non, mon esprit vagabondait plus loin …


(la suite dnas le prochain post)


Stry

o(^.^)° Partie II °(^.^)o

Un soir d’été, alors que j’avançai, mes yeux ne regardant pas la route, mon attention toute tournée vers mes rêves, une flèche siffla tout près de mon oreille et vint se planter juste derrière moi, dans le tronc d’arbre brun et rugueux du chêne.
Tournant ma tête, je vis un homme portant une armure en cuir clouté recouverte par une cape verte. Il portait des bottes épaisses en peau de daim et son visage exprimait un sentiment de curiosité.

‘‘Holà voyageur ! Que fais-tu en ces terres oubliées ? dit-il’’
‘‘ Je … euh … je marche ! Bafouais-je’’
L’homme rigola.
‘‘ Je m’en doute, homme-qui-marche. Mais où vas-tu comme ça ?’’
‘‘ Je ne sais pas, noble seigneur’’
‘‘Eh bien ! homme-qui-marche-mais-ne-sais-pas-où-aller, je t’invite à te reposer dans notre noble demeure et de prendre un bon bain, car tu en as besoin !’’

Et l’homme ouvrit la porte menant dans une petite cour où régnait une certaine activité. De jeunes gens s’entraînaient à frapper sur des mannequins en bois avec des épées courtes. Des personnes apparemment plus expérimentées s’exerçaient à frapper les yeux bandés, des cibles mouvantes. Et enfin d’autres étaient simplement assis sur des bancs en bois et lisaient des livres. Les armes et équipements variaient, allant de l’armure de cuir au plastron et de l’épée bâtarde à la rapière. Au fond de la cour, un grand escalier menait à une solide porte en bois de chêne. Je voulu m’asseoir et admirer l’adresse de ces guerriers mais déjà, un garde m’entraînait vers l’escalier et ouvris la porte. Une grande salle me faisait face; de grandes tables étaient installées et des gens discutaient entre eux, finissant de manger. Au fond de la salle, sur une petite estrade, se tenait un personnage avec une cape noire, qui laissait entrevoir une demi armure. Deux couteaux étaient attachés à sa ceinture et un glaive reposait dans son dos. Il parlait à une jeune dame, de vingt à vingt-cinq ans, les cheveux blonds et très longs, atteignant le milieu de sa cape noire. Elle portait une croix autour du cou et lorsqu’elle leva la main, en direction d’une porte située derrière moi, je pus distinguer une resplendissante bague en or, surmontée par un magnifique saphir. Je voulus compléter mon examen, mais, derrière moi, une voix m’interpella.

‘‘ Excusez-moi ! dit-il’’

Me retournant, je pus apercevoir derrière moi un grand homme, les cheveux bruns.
Une grande cape bleu ciel, ornée de motifs noirs et rouge sang, cachait à demi une armure si resplendissante de lumière qu’on aurait cru sacrée. A ses cotés pendait une lame de belle taille, reposant dans un fourreau noir brillant sur lequel était dessiné un dragon doré s’enroulant autour du fourreau. Ses yeux bleus montraient sa sagesse et ses bras sa force, il occupait sans aucun doute une place très importante dans ce palais. Apercevant que l’homme me faisait signe d’approcher, je me rendis auprès de lui et, avant que je ne puisse sortir un mot de ma bouche, il dit :

‘‘Suis-moi’’

Et il partit dans un petit couloir, éclairé par la lumière de nombreuses torches. Je ne pus parcourir une grande distance quand il s’arrêta et ouvrit une porte en bois qui donnait sur une petite pièce, brillamment éclairée par nombres de torches, ainsi qu’un feu brûlant dans l’âtre.

‘‘Assieds-toi ici, dit-il en me désignant un fauteuil, pendant que lui-même s’installait derrière un bureau, et parle. D’où viens-tu ? Que viens tu faire ici ? Qu’y cherches-tu ?’’
Je ne sais si c’est à cause de son visage bienveillant, mais, bien que au début, les mots vinrent difficilement, je commençai à lui narrer mon histoire, et cela m’y refit penser. Toutes mes journées auparavant, je n’avais pas vraiment pensé à cette histoire, laissant plutôt mes pensées vagabonder à leur gré. Et là, quand je lui ai raconté, je ne sais pourquoi, je me sentis soudain allégé, comme si le seul fait d’en parler à quelqu’un enlevait le poids que je portais, bien que pendant mon époque vagabonde, je ne le sentis pas vraiment.

Bien plus tard, lorsque je finis mon histoire, il se leva et regarda un instant pensivement le feu. Se retournant, il me dit :

‘‘Bien, tu as vécu une rude épreuve et je t’invite à demeurer ici, le temps que tu désires, et de suivre un entraînement au maniement des armes, car, vois-tu, le temps viendra ou nous aurions besoin de toi. Maintenant, va, on va te guider vers une chambre que j’ai préparée à ton effet.’’

Je sortis, et, devant la porte, se tenait un garde, prêt à me guider vers ma chambre. Je le suivis, sans me poser de questions et lorsqu’il ouvrit la porte et me dit ‘‘Dormez bien, seigneur’’, je ne fis que lui répondre d’une vague ‘‘Merci’’ et m’endormit la seconde après que je m’écroulais sur le lit.

A mon réveil, je vis qu’une bassine d’eau claire, ainsi que de nouveaux vêtements, avaient été apportés à mon effet. Après m’être lavé et vêtu, je me rendis dans la cour, pour observer ces jeunes combattants. Quelques minutes plus tard, un homme m’apparut, et j’eu vite fait de me lever que déjà, il s’approchait vers moi.

‘‘Bonjour, dit-il. Tu es bien le dénommé Strygaldwir ? Notre chef, Squallkj, l’homme avec qui tu as parlé hier, m’a dit à moi, Couby, de superviser ton entraînement.’’
‘‘Mais comment … comment avez-vous appris mon nom ?’’
‘‘Ne t’inquiète pas, Deawen, que tu as aussi aperçue hier, possède des pouvoirs et connaît ton nom, ainsi que toute la forteresse à présent. Bon, je vais vite déterminer ton niveau, prends cette épée en bois et viens !’’

Et ainsi commencèrent quelques passes d’armes. Il eut vite fait de déterminer que je ne savais rien de l’épée, ni d’aucune autre arme, bien que avec une épée bien plus courte, presque de la taille d’une dague, je réussissais mieux.

‘‘Hum …, fit il. Je te conseille auprès du confrère Olympus, il pourra t’enseigner nombre de choses. Mais aussi, je ne sais pourquoi, tu dois suivre un entraînement auprès de Nymphette, je ne sais à quel sujet. Sur ce, viens, nous allons le chercher’’.

Il regarda alors autour de lui, puis avisa l’homme, semblait-il, qui m’avait tiré une flèche hier. L’homme s’approcha.

‘‘Salut à toi Olympus ! dit Couby. Je te présente un nouvel élève, Strygaldwir. Enseigne lui la maîtrise de la dague et tout ce qui touche à ton art, s’il te plaît. Mais sache, qu’il doit aussi suivre une instruction auprès de Nymphette.’’

Il parut un instant songeur, puis dit:

‘‘D’accord, j’irai la voir pour discuter des horaires d’entraînements. Au revoir Couby, dit-il quand il partit. Bon, viens, me dit-il, je vais t’enseigner les bases de mon savoir.’’

Et ainsi commencèrent mes quelques semaines de travails avec Olympus. Je n’étais sûrement pas le plus fort, mais je ne me débrouillais pas si mal que ça en fin de compte. Enfin, c’est ce que je pense. Pendant plusieurs semaines, je n’eus pas de travail avec dame Nymphette, dont je n’avais jamais entendu parler, mais mon ignorance fut un jour comblée, comme vous le pensez.

Et je la vis, lors d’un après-midi pluvieux, lorsque le ciel était gris et que le soleil était masqué. Olympus me conduisit dans des quartiers que je n’avais pas encore vu, décoré par de nombreux bouquets de fleurs et guirlandes. Arrivé au fond d’un couloir, il toqua à une porte, ornée de pensées violettes. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit et je fus stupéfait de ce que je voyais. Car, devant moi, se tenait, la Dame du Lac ! Elle adressa un charmant sourire à l’attention de mon maître et lui dit :

‘‘Je te remercie de l’avoir emmené ici. Te bas-tu toujours aussi bien ?’’
‘‘Beaucoup mieux madame, mais je suis d’un naturel modeste, dit-il en lui adressant un clin d’œil. Sur ce, je m’en vais. Au revoir !’
‘‘Viens, dit-elle à mon attention, car j’ai nombres de choses à t’enseigner.’’

Et ainsi débutèrent mes années d’apprentissage. Le savoir que m’enseignait Nymphette était profond, et mes débuts furent difficiles, mais, peu à peu, les principes furent établis en moi et je pus ainsi enfin débuter mon vrai apprentissage. Avec Olympus, j’appris à développer ma vitesse et mon endurance. Je pouvais ainsi courir longtemps puis me battre contre plusieurs ennemis sans m’essouffler. Il me faisait aussi participer à des simulations de missions en équipe. J’échouais souvent au début mais je m’améliorais pas à pas. Ainsi, je vis passer quatre années. À leurs termes, j’avais fini par développer beaucoup de liens avec les différents membres de la Confrérie. Mais, je savais que ça ne durerait plus longtemps, car, je savais en moi-même que je devrais bientôt partir; l’envie de revoir les vertes collines et de courir librement était en moi et, bien qu’elle ai sommeillée en moi c’est quatre dernières années, maintenant, elle se réveillait. Lorsque je dus annoncer la nouvelle à mes amis, ils parurent fort tristes, mais savaient que je devais partir alors n’insistèrent pas. A la veille de son départ, alors qu’il siégeait à une table, un chant attira son attention. Cherchant à localiser la source de cette chanson, il vit que c’était en fait le dénommé Tsukihime qui chantait. Cette personne était nouvelle dans la guilde mais avait été intégré tout de suite dans la caste des spirituels, en raison de son énorme talent pour la poésie et pour le chant. N’ayant jamais eu le loisir de l’écouter, je pus, ce soir, m’abreuver de ses paroles. Sa voie était en parfaite harmonie avec sa musique, et ses paroles coulaient comme de l’eau d’une rivière. Sa mélodie était captivante, et je m’y laissais prendre. Cette soirée, bien des années après, reste gravée dans ma mémoire à jamais.

°(^.^)° Partie III °(^.^)°

Ainsi donc, je partis, seul, sans mes amis, m’armant de mon seul courage au plus profond de la nuit. Je débutais mon voyage à Sarosa, mais partis bientôt pour la ville de Trigorn. Je parcourus nombre de villes, mais dans aucune je m’établis.
Je revins nombres de fois voir les miens. La première fois, j’offris à mon maître Olympus deux petites arbalètes que l’on pouvait attachait aux poignets. Elles m’avaient été offertes par les tynymonis, un jour d’automne. Ils m’avaient dit :
‘‘ Ces arbalètes ont une particularité. Si tu appuies longtemps sur ce petit bouton (il m’avait montré un bouton vert), les projectiles seront directement envoyés et tu n’auras pas besoin de recharger. C’est notre dernière invention, prends en grand soin’’. Je lui offris aussi une cape, d’une matière qui me semblait étrange. Les anciens propriétaires me l’avaient donnée en échange de pièces d’or, étant donné qu’ils ne possédaient qu’une modeste fortune. A Nymphette, j’offris un ruban en peau de tigrepour orner ses cheveux, ainsi qu’un pendentif. Je venais de rentrer d’une journée plutôt fatigante en raison de mon long voyage, mais le sourire qu’elle me fit pour me remercier suffit à me redonner assez de force pour la fin de la journée.

Je fis encore nombre de voyages mais je ne vais pas vous les raconter ici, je laisse à d’autre le soin de le faire. Peut être, un jour, mon histoire sera chantée par le légendaire Tsukihime. Je ne sais, mais je l’espère. Et, après tout, l’espoir fait vivre …





*une petite phrase que j’ai inventée moi-même qui explique ce que je viens de dire : ‘‘Belles sont les étoiles dans le ciel mais plus encore sont celles qui brillent sur la terre, éclairant de leur lumière les êtres solitaires’’




(>^.^)> Voili !!! <(^.^<)

bravo c'est bien écrit, mais je me demande qui est l'homme avec lequel je parle au début que tu entres dans le chateau, Vix, non ?

Ca me fait un peu penser o X-men aussi ^^

Oui oui, c'est Vix ^^
Un peu X-men ? pourquoi ?


Stry

Ben version médiévale bien sur, mais c'est le chateau avec tous les supers héros gentils dedans, les entrainements intensifs tout ça...

Squallkj => le prof Xavier xD
Déawen => dans ton histoire ça fait un peu style Tornade ^^

Ah LoL. Ben maitenant que tu el dis ... mais j'y avais pas du tout pensé quand je l'écrivais ^^


Stry

Bien joué stry
Moi d'abord je suis wolverine

Je te l'avais déjà dit, mais...

PAS MAL DU TOUT!!!!!!

bien ...bien ,j'aime bien!
j'attend la suite avec impatience ...

(il faudrait que je pense à continuer ma description aussi mais un peu fatiguée en ce moment ^^ )

Oui, tu m'avais promi de tout me raconter môman !

c t tout bonne foi magifike jen é lé larme o yeux

Passionant Stry !

J'ai même l'air intelligent et fort dans ton histoire

C'était la partie la plus difficile de la conception!
J'RIGOLE Pupus!

Merci les n'amis !!!!!



Eh bah ! je ne m'y attendais poo ...
C'est si bien que ça ??!!

Pour les épisodes suivants, ce ne seront que les récits de mes voyages ^^ Si quelqu'un a une idée, dites le moi par E-mail ou MSN sur ripper40k@yahoo.fr xD


Stry

Bravo, bon travail