Promenade mouvementée d'un coach et d'un tavernier.

La forêt de Creih. Reconnue par l’ensemble des habitants de Vesperae, étant une des plus jolies. Un havre de paix, un univers paisible avec en prime les chansonnettes des oiseaux.

Regardez monsieur Gabriev, regardez! Je ne m’étais jamais promené en ces lieux! C’est géant! Magnifique! Ça ne vous donne pas envie de courir?

C’est-ce quelle fit. ‘Bwaaaah’ quelle criait. Si fort qu’une nuée d’oiseau sortit au milieu de nulle part et se dirigèrent vers d’autre horizon. Anne-onyme n’osa pas se retourner mais sentit le regard foudroyant de monsieur Gabriev sur son dos. Elle avança mine de rien d‘un pas lent. Elle marmonna.

De toute façon c’est bête un oiseau ça stresse tout l’monde à chanter sans cesse.

Son regard se posa sur un buisson quelque mettre plus loin.

Regardez, regardez! Des fraises là au fond!

Elle marcha rapidement, écrasa des fleurs et s’accroupit pour manger son fruit préféré.

C’est délicieux scrounch, vous devriez en manger, scrounch.

Elle se releva et fit un grand sourire. Ses dents étaient rouges, sa bouche également, ainsi que ses oreilles, son ventre, ses pattes…

Je suis toute tâchée! Je suis grise avec des gros point rouge maintenant… bah c’est à la mode non? Vous pensez que je passerai inaperçue?

[Hrp: Si jamais tu as le courage de tout reécrire... bonne chance Gavriev! =D]

La cadence ralenti par le vent de face, Gabriev marchait en recul et tournait la tête de droite a gauche afin d'admirer les étendues d'arbre a n'en plus finir.

Quelle belle journée pour une promenade n'est-ce pas? Mis apart que la seule personne avec laquelle je me balade brise ce merveilleux silence qui fait le charme de la foret.

Se penche sur Anne-Onyme

Avec votre manque de calme habituelle vous ne passez jamais inaperçue, donc non cette couleur ne vous fera pas plus remarquer.

Il sourit et repris sa route toujours avec une démarche lente.

J'aimais beaucoup venir me perdre dans les contrée sur les terre de la brigade, j'écrivais des poèmes, assis sur une branche de chêne, et puis je m'endormais, la vie étais calme et sereine.
Vous devriez faire moins de bruit, et apprécier cette douce sensation. Et puis, ne vous éloignez pas trop de moi, on ne sais jamais ce qu'il se cache dans les noirceur des bosquets.

Il sortit ses deux lames jumelle avec lesquelles il se battait les temps passé et les inclina de manière a pouvoir les sortir de leur fourreau facilement.

Au fait, pourquoi vouloir subitement m'emmener en balade, Terenas n'est t'il pas la?

Anne-onyme regarda le ciel, qu’aucun nuage ne cachait. Un si beau temps à cette période de l’année ! Il fallait en profiter ! Elle se pencha en arrière et se laissa tomber dans l’herbe. C’était bien mieux ainsi pour regarder ce tapis de bleu ! Et de cette manière elle ne dérangerai plus la tranquillité de cette forêt.

Terenas ? Je ne sais pas s’il est la. Nous nous ne voyons pas souvent. Il est très occupé…, elle bafouilla, coureur de Jupon …, et puis ! Ce n’est pas avec lui que je voulais faire une promenade mais avec vous. J’apprécie votre compagnie. Auriez-vous préféré que je ne vous importune pas ?

Elle mit ses deux pattes avant en l’air et essaya d’attraper les oiseaux aux vols bien que ceci soit impossible.

Il se rapprocha et planta ses deux sabres dans un tronc d'arbre d'un coup violent avant de s'allonger dans l'herbe a son tour.

A que non, voici fort longtemps que je n'ai pas quitter le village et que la nature ne s'est pas opposé a moi, j'apprécie beaucoup que vous soyez venue me chercher, ce n'est pas avec Koeldin que je vais me balader.
Par contre, il faut arrêter de m'appeler monsieur Gabriev et de me vouvoyer, de plus je ne suis pas humain alors me comparer a un homme n'est guère flattant, je vaux bien mieux que çela.

Il se mis a rire et sortis une mignonette de sa poche. Il bus et la tendis a Anne-onyme.

Un peu de boisson vous ferait il plaisir?

Anne détacha son regard du ciel et tourna la tête vers son ami. Elle n’osait pas toucher à la boisson qu’il lui proposait. Elle mit ses pattes en croix sur son corps et réfléchis. Mignonette ? Qu’est ce que cela voulait dire ? Le mot boisson devait être prit dans quelle sens ? Etait ce de l’alcool ? Elle ne savait pas du tout. Si c’était belle est bien de l’alcool elle ne pouvait pas se permettre d’en prendre. Un coach ne devait pas boire ! Mais se serait malpoli de refuser cette ‘boisson’ si gentiment proposé. Et elle allait avoir l’air bête, ne sachant pas ce que signifiait ce mot, surement connu. Que devait-elle faire. Ses yeux sortit de ses orbites et fixait Gabriev (dorénavant elle ne dirait plus monsieur si cela est péjoratif pour lui). Pouvait il comprendre ce qu’elle demandait avec ses gros yeux globuleux ? Non peut être pas… elle se mit en tailleur tout en se tournant face au tavernier. Elle sortit une pendulette, venant de nulle part, teint fermera la chaine dans sa main et l’agita devant Gabriev.

Tu va comprendre ce que je te demande du regard, comprend ce que je demande, regard, demande, regard, demande…

Elle répéta ces mots sans cesses et laissa agita la pendulette qui formait un sourire dans l’air avec ses allées et venues de droite à gauche. Anne tacha de garder ses gros yeux, aussi incompréhensible soit il.